« Comment ! Il ne reste plus que 871 places aux Journées ? »
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JOURNAL DES JOURNÉES
N° 27
le dimanche 4 octobre 2009, édition de 7h 22
גיל
S.O.S. SUJET SUPPOSE SAVOIR
Nouvelle rubrique : on interroge l’ensemble des lecteurs
comme sujet supposé savoir. Répondre à l’adresse jam@lacanian.net
Papa Dieu
On m’a parlé ce dimanche d’un récent enterrement célébré dans le Nord, où le prêtre ne disait pas « Dieu », ni « Dieu le Père », mais « Papa Dieu ». La Vierge Marie était : « Maman Marie ». Des lecteurs du JJ ont-ils eu connaissance de faits semblables ?
Jacques-Alain Miller
La grâce du transfert
Je n'arrive pas à trouver dans Lacan cette mince référence : où évoquait-il la « grâce du transfert » ?
Jean-Louis Blaquier
ELECTIONS A L’ECF
Les textes de cette rubrique sont publiés dans leur ordre d’arrivée à l’adresse jam@lacanian.net
Parus : Agnès Aflalo, Francesca Biagi-Chai, Philippe De Georges, Dominique Holvoet, Jean-Daniel Matet : à paraître : textes d’Anne Ganivet-Poumellec, Paolo Siqueira, candidats au Conseil de l’ECF. Ci-dessous, texte de Nathalie Georges, candidat au Conseil.
Nathalie Georges : Les points forts
Une institution qui se déduit de la psychanalyse, qui est là pour la supporter, et dont quelques-uns d’entre nous assumons les charges permutatives, cela me fait rêver, moi qui ai aimé a long time ago, étudier l’histoire des institutions. Or je ne veux pas rêver. C’est pourquoi je me présente : pour éprouver la chose, in vivo. La vie est plutôt gaie, vue du Journal, tant mieux. Je mise sur la contagion de cette gaîté au Conseil.
Certes, l’École dotée de l’up, puis maintenant de la qualité d’ong, aura à se familiariser avec ce qu’elle devient. Cela rend l’aventure passionnante.
Comment se répartira le travail dans le Conseil ? En fonction des points forts, je suppose, selon le fameux principe de Tartakover dont Jacques-Alain Miller m’a fait apercevoir le ressort dans sa Lettre à l’opinion éclairée du 9 septembre 2001 : « Quelle prescience me fit lui confier qu'une phrase de lui, dite à moi il y a trente ans, chez les Desanti, m'était restée inoubliable ? "Diable ! Et laquelle ?" - "Ce conseil : toujours renforcer les points forts, jamais les points faibles" - "C'est le principe de Tartakover", rétorqua-t-il du tac au tac. Merci, Sollers, j'ai toujours fait comme vous m'avez dit. »
En me confiant la revue de l’École, le Bureau actuel a fait le pari d’une certaine force utilisable, et moi celui de ne pas décevoir, c’est-à-dire de veiller au bon usage et au destin de cette force, en la liant, en l’alliant, en apprenant à la délier à temps.
Tartakover a choisi les échecs, qui semblent le lui avoir bien rendu, enfin, pas si bien que ça, si l’on songe qu’il est mort dans la misère. On peut en inférer que sa propre force se serait retournée contre lui. C’est précisément le point de la passe de la psychanalyse : étant averti du principe du boomerang, utiliser la force de l’adversaire contre lui, sans craindre le déploiement de cette force.
« La grande science est de lui faire vouloir ce que vous voulez qu'il [l’adversaire] fasse et de lui fournir, sans qu'il s'en aperçoive, tous les moyens de vous seconder », écrit Sun Zi. Mais qui est donc l’adversaire ? Je n’imagine pas qu’un analyste ne se lève pas, ni ne se couche sans cette question. J’ajoute un mot de Queneau, savoureux. On lui demandait comment il préférait éliminer ses adversaires, et il dit : « Je suis contre l’élimination des adversaires. »
Je m’intéresse aux publications et à la politique éditoriale de l’École. C’est dans ce domaine que j’imagine pouvoir faire quelque chose. Nous publions beaucoup (pas assez ?), nous nous intéressons à des champs connexes, le faisons-nous savoir ? Quels liens faire avec les éditeurs, les réalisateurs, les metteurs en scène des livres, films et pièces de théâtre que nous lisons, voyons, critiquons dans La Cause freudienne, Mental, la « Lettre mensuelle », « Horizon », les bulletins des ACF et les publications du Champ freudien ? Quel lien aussi avec la Bibliothèque et ses soirées ? Quelle ouverture, surtout, pour nos travaux, étant donné les masques dont s’affuble « la psychanalyse » dans notre siècle ?
Pour ce faire, il me semble que faire partie du Conseil m’aidera à saisir les tenants et les aboutissants de notre action lacanienne, sans standards mais pas sans principes, action qui déborde les publications mais aussi les traverse, pour orienter la revue au plus près du souffle qui nous anime.
Je suis donc candidate.
LA VOIE DU SABRE
par Lilia Mahjoub
Cher Jacques-Alain,
Eh bien, puisque vous me corrigez (et pas avec un bouquet d’œillets), Lilia (pas du tout déguisée en Katharina) revient sur la scène. Ai-je dit que Wikipédia, ce n’est pas bien ? Non. J’ai dit que c’est « sommaire », et sur un point précis. Mais bien sûr que je suis à fond pour Google ! Pour l’utiliser régulièrement, comme beaucoup de monde, quand je cherche une référence, ou n’importe quoi d’autre.
Juré-je que par les Ecrits de Lacan ? Non, ce n’est pas ma seule et unique référence. J’ai lu et je lis bien d’autres auteurs en tous genres. Je sais, hélas, que je ne pourrai jamais tout lire. Je n’aurai jamais le temps de lire tout ce que je n’ai pas lu. Mais c’est Lacan qui m’est revenu en tête, au sujet de ce que vous écriviez dans le JJ. Ce n’est quand même pas une faute, et ce n’est pas non plus surprenant. Je l’ai beaucoup lu (et je n’en ai pas fini, je crois), et notamment grâce au travail que vous faîtes sur ses Séminaires. Alors oui, certaines de ses phrases me reviennent. Elles me sont précieuses. C’est pour cela que je l’ai cité dans ma lettre. Et puis, aussi, je n’ai pas «liquidé mon transfert ». Je n’ai d’ailleurs pas l’intention de le faire. Voilà !
Vous avez un vrai talent, qui m’a fait penser au « Livre des Cinq Anneaux » (Go Rin No Sho), qui date de l’ère Edo, celle d’avant l’ère Meiji, celle des Shogun et des Samouraïs. Attention, je ne dis pas que je la préfère à l’ère Meiji, qui est l’époque qui en finit avec le Japon féodal. Non! Non !
On trouve dans cet écrit de Miyamoto Musachi (Maître de kendô, la voie du sabre), composé de cinq livres (celui de la terre, celui de l’eau, celui du feu, celui du vent et celui du vide), un passage sur le « corps à corps », (décidemment cela me fait encore penser à Lacan. Bref.) J’y lis ceci : « Quand vous en êtes venus aux mains… » - ce qui n’est pas notre cas - « …que vous luttez avec l’ennemi, et que vous ne pouvez pas progresser, enchevêtrez-vous avec l’adversaire. Vous ne pouvez vaincre en appliquant une technique appropriée pendant que vous êtes empêtrés l’un dans l’autre. Dans les combats impliquant un grand nombre d’hommes comme dans ceux où sont engagés peu d’adversaires, vous pouvez souvent gagner une victoire décisive si vous savez vous enchevêtrer avec l’ennemi, tandis que, si vous vous écartez, vous perdrez l’occasion de vaincre. Etudiez bien ceci. »
Vous savez vous enchevêtrer, vous l’avez prouvé maintes fois. Bon, j’espère que ça ne va pas donner lieu à des interprétations oiseuses, si vous publiez ça.
Ah, encore un mot. J’aime beaucoup être une femme.
Je vous embrasse.
AUX JOURNEES :
NE PAS FAIRE LES ENFANTS
par Hélène Deltombe
Cher Jacques-Alain Miller,
Je fais partie des ardent(e)s supporters…
Remarquez d’abord qu’il faut faire un effort particulier avec le traitement de texte pour écrire « ardent » au féminin, cela donne € si l’on n’y prend pas garde, ce qui constitue une régression regrettable du niveau auquel on souhaite se situer : femme, et appartenant au genre humain…
Le problème que vous soulevez dans le Journal des Journées n° 26, avec l’Auditorium, nous renvoie au problème de la Salle bleue du Journal n°1 : « Pas de salle bleue ! » Et nous voilà avec l’auditorium ! Pour ma part, je ne vois pas de problème. C’est de la vanité mal placée que de se croire mieux traité(e) en Salle bleue ou en Auditorium que dans les salles multiples, qui sont le plus souvent bondées, quoiqu’on en dise. Est-ce à dire que les intervenants de la Salle bleue étaient forcément les plus intéressants à entendre ? Faudrait-il alors logiquement envoyer dans cette salle-là, Salle bleue ou Auditorium, les moins intéressants ? Logique bizarre, et peut-être absurde, si l’on considère que les exposés ont été choisis avec soin.
Je plaisante, nous sommes tous désireux d’écouter certains plus que d’autres, à commencer par vous, nettement ! Et si cette fois les exposés étaient tous brûlants d’intérêt ?
Puis-je profiter de cette rubrique pour annoncer un scoop ? Est-ce que Judith Miller m’en voudra d’annoncer qu’un texte de vous, grâce à sa vigilance et à sa ténacité, va paraître dans le n°30 de La Petite Girafe que chacun des participants aux Journées pourra se procurer à la librairie ? Et que par ce texte, vous soulignez l’importance de ne pas dissoudre l’enfant dans la structure, mais, pour autant, de ne pas « faire l’enfant » ? Et de préciser que jamais Lacan ne faisait l’enfant avec les enfants. Mais je laisse aux lecteurs futurs le soin de découvrir !
Il me semble en tout cas que nous n’avons pas à « faire les enfants » au moment de Journées d’une telle importance : ni le fait de passer dans une salle ou dans une autre, ni le fait de voir son texte retenu pour ces Journées ou pas, ne doit compter au regard de ce qui va passer de la psychanalyse à cette occasion unique !
Et je parle aussi bien pour moi, car tout en cherchant à peaufiner quelque chose, je crains bien de tomber dans le travers que vous décrivez dans le Journal n°6 : « On ne raconte pas "Ma vie et la psychanalyse, depuis que je suis toute petite" en un quart d´heure, pour se congratuler d´être devenue ce que l´on est, dans la grande tradition mégalomaniaque du Nietzsche de Ecce Homo, avec la larme à l´oeil du Petit Chose. On ne multiplie pas les allusions opaques, déchiffrables par le seul sujet, comme si l´inconscient n´était pas structuré comme un langage, mais humide comme un brouillard, épais comme une brume, vaporeux comme une fumée de mer (ce qui n´est pas dire qu´un brouillard, non plus que la buée, la bruine, le givre, les merveilleux nuages, et cette rosée du matin dont Lacan fit cas dans son Séminaire, ne soient pas eux-mêmes des phénomènes parfaitement structurés : le premier manuel venu de météorologie vous apprend que leur formation répond à une transition de phase (du premier ordre) de l´eau atmosphérique, dont les énergies sont calculables à partir de la relation de Clausius-Clapeyron, en fonction de la pression de vapeur saturante, selon différentes formules - de Rankine, de Duperray, de Dupré). On ne cherche pas à caser tout ce que Lacan appelait "mes bateaux", pour se congratuler d´être conforme au portrait-robot du lacano-analyste moyen, entré dans la vie névrosé jusqu´aux yeux, pouvant à peine respirer, qui découvre à la fois le désir, le S de grand A barré, le pas-tout, sa solitude radicale, et la grande famille de l´Ecole, et s´en va apporter lumière et réconfort à des patients qui ressemblent à lui, avant. On cerne avec précision un détail ou deux, original, charnu, épicé, croustillant, on le communique en pesant tous ses termes, on parle dans la langue de son inconscient, à nul autre pareille, avec le vocabulaire qui lui est propre, on s´épargne la révérence aux vaches sacrées, "Freud (ou Lacan, ou Gontran), a déjà dit..., et c´est si vrai". On démontre ainsi en acte, et non en flons-flons, que des Journées d´analystes-analysants,... c´est tout de même autre chose que les Comices agricoles ! (Idée reçue : relire Madame Bovary.) – JAM
A chaque fois que je relis cette mise en garde, qui constitue un formidable morceau d’anthologie, je ne peux m’empêcher de me laisser aller à un rire inextinguible, sans aucun doute parce que cela me touche ! C’est bon pour les zygomatiques, pour le moral, pour la relance du désir… Merci !
SUR LA QUESTION
DES SALLES MULTIPLES
par Hervé Castanet
Cher Jacques-Alain Miller,
Vous posez, dans le Journal des Journées n. 26 ECF, la difficulté, jamais réglée depuis 25 ans, des Salles multiples. L'an passé comme directeur des Journées, je vous l'ai dit, j'ai buté sur l'obstacle, et il n'a pas été franchi. Or, cette année, les Salles multiples du samedi ont une importance déterminante. 108-110 intervenant(e)s vont confier, à partir de leur cure, le plus intime d'eux-même, le plus précieux non sans bien-dire (c'est tout au moins l'enjeu de chaque exposé).
Dès que vous nous aviez informés que la Salle bleue ne constituerait plus l'une des salles multiples, je vous avais aussitôt écrit : enfin ! Seulement aujourd'hui, vous nous précisez qu'il y a l'amphi Bordeaux qui fait... 600 places (la salle bleue doit accueillir 800-850 personnes). Ne risque-ton pas de se retrouver exactement avec l'amphi Bordeaux avec la même difficulté qu'avec la Salle bleue ? Je le crains.
Mais pourquoi ? On pourrait se dire : la salle de 600 places accueille 600 personnes, celle de 300, 300 personnes et celle de 100 places reçoit... 100 personnes. Eh ! bien, généralement, ce n'est pas ainsi. La salle de 600 places attire 700 personnes, celle de 300, 400 et celle de 100 se retrouve avec 40 présents. C'est exactement ce qui s'est produit l'an passé.
Comment faire ?
Lors des Conversations Uforca, il y a plusieurs années, lorsqu'il y avait plusieurs salles multiples, il avait été décidé qui irait où. Bref, chacun avait une salle assignée, et ne décidait pas. C'est l'Autre qui décidait pour chacun. Procéder ainsi a un avantage : les petites salles multiples sont pleines. En effet, ce qui pose problème, ce n'est pas qu'une petite salle accueille moins de présents que les plus vastes, c'est qu'une petite salle (il y a toujours des exceptions, certes) soit quasiment vide. Ce qui donne : des exposés ont lieu dans une petite salle presque... vide. Je vois immédiatement le risque et la critique d'une telle option. Alors que vous placez ces Journées sous les auspices de l'invention, de l'ouverture, du nouveau, voilà que les hommes d'appareils (j'en suis un peu un à ma façon) sortent leurs calculettes, et font les calculs, drainent les foules, et décident autoritairement.
Je vous adresse néanmoins cette piste de réflexion, parce que je crains, j'insiste, qu'autrement, les Salles multiples échouent sur cet obstacle, et qu'à ce titre, nous avons à le prendre au sérieux. Bref, quel automaton pour assurer que le nouveau concept des Journées que vous mettez en place trouve à se réaliser lors des Salles multiples du samedi ? La qualité des textes n'y suffit pas.
Cette question d'intendance n'est pas nouvelle, et va au-delà de nos Journées. Elle a agité les révolutionnaires à l'échelle des pays, voire du monde. L'option anarchiste du joyeux bordel a souvent fait le lit des pires répressions. L'option d'un Charles Fourier qui séduit lorsqu'on le lit ne doit pas faire oublier que toute utopie est non-lieu (u-topos) et, à ce titre, ne se préoccupe pas de répartir la disposition des salles et des personnes. Quant à l'option autoritaire de la règle pour tous, elle finit dans le pire.
C'est pourquoi votre proposition : « mettons-nous au travail sur cette question pratique ! » a, pour moi, tout son poids. Ce n'est pas une question secondaire...
Bien cordialement à vous.
Messages personnels
- Ekaterina Ostaschenko. Votre idée des Journées produit une association avec Star Academy (http://fr.wikipedia.org/wiki/
- Marlène Belilos. Pour une définition poétique du silence. Le cinéaste grec Nikos Panayotoupolos, que j'interviewais à Patmos, devant un magnifique paysage, restait silencieux. « Que vous arrive-t-il ? - Oui, c'est très beau, mais la beauté me rend triste, car qu'est ce que je peux faire quand tout est parfait ? comment puis-je apporter ma marque ? » Le silence du un par un de la majorité est peut-être celui-là. Et chacun s'empresse de s'inscrire pour assister aux Journées.
- Nathalie Georges. Vous qui n’avez pas la télévision, avez-vous jamais assisté au tirage du loto ? J’ai rêvé que nous, les deux cents, nous trouvions ballottés dans ce simili-accélérateur de particules transparent, réduits - shrink’d - et emmaillotés comme des Hopis dans nos textes arborant un grand numéro, à l’entrée de la Salle bleue (oui je sais, nous avons changé d’amphithéâtre, mais le rêve ignore le temps, comme vous savez). En même temps, nous, grandeur nature, dans nos affûtiaux ordinaires, faisions sagement antichambre en devisant sotto voce, et donc, des préposées (oui, c’étaient des dames, on est responsable de son inconscient) procédaient au tirage, et constituaient l’un après l’autre des tiercés, deux exposants et un président, qui étaient alors appelés, et c’est ainsi que se distribuait le sort, sourd et aveugle, dans le désordre imprévisible que forment les arrivées en ce Palais, tributaires des trains, métros et autres vicissitudes des transports parisiens, et tout cela s’écoulait, fluide et tranquille, comme le long fleuve de la vie. Et le reste ? Eh bien, le reste était naturellement envoyé à la revue, lu avec grande attention, et édité avec grand soin par son équipe dévouée, et très intéressée à la suite des opérations, comme vous le savez aussi. Et le reste du reste ? Il faut demander à Gérard W, spécialiste.
J’espère diffuser le numéro 28 du Journal ce dimanche avant minuit, heure où commence l’envoi des textes, qui se poursuivra jusqu’au jeudi minuit. Je compte y répondre aux lettres et messages qui m’ont été envoyés hier et ce matin, et y exposer la solution que je propose aux deux problèmes formalisés dans le n° 26 - solution qui restera en débat jusaqu’à vendredi prochain, la première réunion de « l’équipe technique » avec moi étant prévue pour samedi.
JAM
Questions sur l’envoi des travaux: Dominique, domiller@hotmail.fr
Problèmes avec l’inscription aux Journées : Francesca, bia.chai@free.fr
Plaintes, protestations, concernant la préparation des Journées : Hugo, hfreda@free.fr
Mise en vente à la Librairie des Journées : Anne, annedg@wanadoo.fr
Réception du Journal, liste de distribution : Philippe philelis@noos.fr
Journal en pdf : Dominique, dominique.holvoet@gmail.com
Direction des Journées : JA, jam@lacanian.net
Les Journées 38 ont lieu les 7 et 8 novembre prochains
à Paris, au Palais des Congrès
ECF 1 rue Huysmans paris 6è Tél. + 33 (0) 1 45 49 02 68
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diffusé sur ecf-messager et sur forumpsy
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