27 de setembro de 2012

Mental 27/28 : Morceaux choisis (03)



Mental 27/28 : Morceaux choisis (03)
Numéro exceptionnel marquant la fondation de l'EuroFédération de Psychanalyse
623 pages,  999 grammes, tirage limité
Plus de 130 travaux internationaux publiés

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« En psychanalyse, le cas clinique n'existe pas ! Pas davantage que la santé mentale. Exposer un cas clinique, comme si c'était celui du patient, c'est une fiction... Nous sommes impliqués dans le cas, ne serait-ce que par l'effet du transfert. »
J.-A. Miller, Mental 27-28, p. 127.
Quand il y a de l'analyste chez le clinicien

Gil Caroz (Belgique-Bruxelles) :
« Rien ne permet de croire que le réel des autres… puisse être abordé tant que le réel propre au praticien n'est pas approché. »
Maria Alba de Luna (France-Paris) :
« Un 'Arrête de parler !' que l'enfant m'adresse… vient ponctuer mon malaise face aux symptômes de la fille et de la mère, faisant surgir le commandement maternel de ma propre enfance… »
Solenne Albert (France-Nantes) :
« J'avais oublié que chaque langue est unique et que pour franchir le mur du langage, il faut sortir de l'axe imaginaire. »
Christiane Alberti (France-Toulouse) :
« La réserve mentale serait donc à déceler dans toute cure ? »
Carmen Alda (Espagne-Barcelone) :
« À mesure que Pau avançait dans sa construction subjective, certaines voix hostiles se turent peu à peu. »
Monique Amirault (France-Angers) :
« Il est nécessaire que l'analyste puisse se reconnaître… dans ce reste irréductible du symptôme qui fait de lui un 'séparé'. »
Despina Andropoulou (Grèce-Athènes) :
« Alors que Foris prenait à son compte la voix par la chanson…, la clinicienne s'écartait de son commandement surmoïque… »
Begona Ansorena Anza (Espagne-Barcelone) :
« Cette expérience à l'hôpital de jour marqua pour moi un passage du discours du mental au discours psychanalytique. »
Dalila Arpin (France-Paris) :
 « Le pari de la psychanalyse est diamétralement opposé au discours de la Santé mentale : aider cet enfant à 'se faire une place', et non pas 'lui en donner une'. »
Gia Francesco Arzente (Italie-Turin) :
« L'analyste ne me proposa pas de normaliser ma 'mauvaise conduite sociale'…, mais elle mit en valeur ce que j'aurais voulu exclure de ma vie… »
Alejandra Atencio (Espagne-Barcelone) :
« … l'analysante partait du postulat… qui voilait l'angoisse provoquée par le fait de se trouver en position de non-savoir face au patient. »
Stefano Avedano (Italie-Turin) :
« Dans mon analyse, des stratégies symptomatiques… m'ont fait apercevoir que la relation à l'analyste se jouait dans la réduction de l'Autre au silence… »
Morceaux choisis par Véronique Servais

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