La crise dans tous ses états
Ce moment décisif sera décliné à partir de la crise saisie dans tous ses états.
La crise fnancière aux surgissements multiples, vue depuis ses effets subjectifs.
La crise du côté du passage à l’acte, qui est aussi le passage de la crise à l’acte, parfois criminel.
La crise et le traumatisme, considérés à partir des événements terroristes récents, forme de plus en plus répandue du malaise dans la civilisation.
La crise dans la science, lue à partir des grands enjeux contemporains, où se réalisent des ruptures que plus personne ne semble pouvoir interpréter.
La crise comme jouissance, selon le style spécifque d’une époque qu’on pourrait aussi voir comme addictive à la crise.
Des enseignements de la crise à partir de Jean-Jacques Rousseau, puisque Genève est sa ville d’origine, celle qui coûta la vie à sa mère, lors d’une naissance qui fut « le premier de ses malheurs », comme il l’écrit dans ses Confessions.
Pour aller vers la crise d’adolescence, la crise suicidaire... et les solutions institutionnelles pour les accueillir.
Jusqu’à la crise dans la cure. Celle qui se joue du symptôme et du transfert. Et celle que peut nous enseigner la passe, avec les témoignages d’Analystes de l’École sur la fin d'analyse interrogée comme un moment de crise, mettant en jeu un acte, qui passe par un certain saut dans le vide.
La crise surpris
Quel que soit le champ où elle survient, la crise permet l’invention. Elle oblige à aller vers ce qu’on ne sait pas encore. Elle comporte en elle-même sa solution. Les choses trouvent aussi leur sens quand elles changent : encore s’agit-il de soutenir ce pari.
La crise fnancière aux surgissements multiples, vue depuis ses effets subjectifs.
La crise du côté du passage à l’acte, qui est aussi le passage de la crise à l’acte, parfois criminel.
La crise et le traumatisme, considérés à partir des événements terroristes récents, forme de plus en plus répandue du malaise dans la civilisation.
La crise dans la science, lue à partir des grands enjeux contemporains, où se réalisent des ruptures que plus personne ne semble pouvoir interpréter.
La crise comme jouissance, selon le style spécifque d’une époque qu’on pourrait aussi voir comme addictive à la crise.
Des enseignements de la crise à partir de Jean-Jacques Rousseau, puisque Genève est sa ville d’origine, celle qui coûta la vie à sa mère, lors d’une naissance qui fut « le premier de ses malheurs », comme il l’écrit dans ses Confessions.
Pour aller vers la crise d’adolescence, la crise suicidaire... et les solutions institutionnelles pour les accueillir.
Jusqu’à la crise dans la cure. Celle qui se joue du symptôme et du transfert. Et celle que peut nous enseigner la passe, avec les témoignages d’Analystes de l’École sur la fin d'analyse interrogée comme un moment de crise, mettant en jeu un acte, qui passe par un certain saut dans le vide.
La crise surpris
Quel que soit le champ où elle survient, la crise permet l’invention. Elle oblige à aller vers ce qu’on ne sait pas encore. Elle comporte en elle-même sa solution. Les choses trouvent aussi leur sens quand elles changent : encore s’agit-il de soutenir ce pari.
On verra les surprises que nous réserve l’épreuve du moment présent, lorsque nous nous retrouverons ensemble dans quelques jours à Genève. Nous sommes tous curieux de prendre la mesure de ce moment de crise !
* Retrouvez les Entailles et les vidéos sur www.nlscongress.org
- 9 & 10 mai 2015 : Congrès entièrement en séance plénière, avec la participation des présidents des Écoles de l'Euro-Fédération de Psychanalyse, de Miquel Bassols, président de l'Association Mondiale de Psychanalyse, ainsi que celle d'Éric Laurent et de Jacques-Alain Miller.
- 8 mai : Conversation clinique avec J.-A. Miller (réservé aux membres NLS & AMP)
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